Le 08 Janvier 1996… Un avion cargo s’écrase sur un marché à Kinshasa. L’incident fait des nombreuses victimes dont les femmes et les enfants.
L’événement a fait parler des gros média, mais plusieurs se posent derrière cette crash MYSTÉRIEUX.
1. Le Contexte
L’avion se prépare pour aller Kahemba dans le sud d’Angola. Officiellement, c’est juste pour un jet de pierre à la frontière. Depuis que les rébellion surgisse au pays, rappelons que nous sommes en 1996.
L’ONU soupçonne Mobutu d’utiliser cette destination pour faire ses trafics d’armes. Le matériel venait principalement de la Russie. Il le dit aussi impliqué dans l’affaire angolagate.
Nous sommes alors le 08 Janvier 1996, l’avion s’aligne à la piste comme d’habitude avec un régime pousser au maximum.
Officiellement, l’avion cargo transporte des biens de consommation et de la nourriture. Aux commandes de cet appareil, le pilote russe Nicolaï KAZARINE VLADIMIRO et Andrei GOUSKOV VICTORO-VITCH, j’espère que j’ai bien prononcé leur nom.
L’Antonob 32B peut généralement chargé au maximum 27 tonnes. Mais ce jour-là, à l’aéroport de Ndolo, il y a beaucoup de choses à transporter en urgence.
L’avion fait ses manœuvre habituel vers 11h, mais quand le pilote commence à décoller l’avion, une chose étrange se révèle. La gouverne de profondeur réponds mais la force aérodynamique appliquée ne suffisent pas.
Mais comme le pilote est déjà à de telles situations, il ne prend pas ce signal au sérieux et continue ses processus. L’avion est autorisé à décoller vers 12h par la RVA après toute vérification de trafic. Tout semblait bon.
Il accélère avec l’avion pour prendre la vitesse et que la gouverne de profondeur deviens alors efficace.L’avion est sur point de partir.
2. Le Crash
Seulement quelques minutes après avoir quitté la piste 26 de l’aéroport de Ndolo, l’avion ne supporte plus plusieurs kilogrammes de plus.
Quand le pilote comprends que l’appareil ne peut plus voler plus haut, il atteme directement le phase d’atterrissage en freinage.
Mais À 1100 mètre d’altitude l’avion rentré sur l’avenue Bokassa, la population voit de loin que quelques choses ne va pas avec l’appareil au ciel.
Il faut savoir, le marché qu’on surnomme somba Zigida est juste à côté de l’aéroport en question. Et quand on dit marché, il y a aussi plusieurs personnes surtout à 12h.

À 130 km par heure, L’Antonov fonce vers un crash éminent, il prend l’autoroute, ensuite il fait son entrée au petit marché de Type K.
Les hélices continue de tourner à vive allure, la population aux alentours panique. Des gens commencent à fuire de partout. L’avion rase tout sur son chemin. Magasin, maison, panneau, et toutes les personnes…
La tête, les pieds, les jambes… Les gens tombent par dizaines. Après avoir détruit tout, l’appareil fini sa course par heurter un béton au marché, et il commence à prendre feu. Avec 8000 chevaux, L’Antonov fait déjà des victimes, les enfants et les femmes, la scène est effroyable.
Le sang est partout, des personnes brûlées, décapités… L’information a sihonné aux alentours, tout le monde veut voir ce massacre. D’autres viennent pour secourir les blessés, d’autres commence à piller le marché et récupérer les bijoux dans les corps sans vies partout décapités.
L’avion cargo porté les marchandises, les nourriture et la population s’est mis à voler ce qui en rester. Et piller les magasins du marché…
Vers 13h, quatre membres d’équipage dont les pilotes ont réussi à sortir vivant. Ils sont que légèrement blessées. Mais la population veux s’en prendre à eux.
La police intervient pour disperser la population, ils sont vites amener à l’hôpital. Après le crash, le carburant fuitez lentement, et quelques minutes l’avion s’enflamme. Et le bilan s’allourdi.
3. Bilan
Il y a pas un nombre exact des morts selon plusieurs sources. Parce que les autorités n’ont pas pu identifier tous les corps. Seuls 66 corps sont identifiés, d’autres calcinés et méconnaissables.
Mais l’acte d’accusation nous parle de 225 victime, mais d’autres sources parle de plus de 500 victimes. On peut compter plus de 350 morts et 500 blessés, selon des sources internationales.
Quelques minutes après l’incident, 32 corps sont déjà transporté à la morgue de mama yemo. Arrivé à maman yemo, les blessés sont plus nombreux qu’avant. Un appel urgent de donneurs de sang a été relayé aux alentours pour combler le manque de sang.
L’hôpital renvoie aussi certains blessé fautes d’équipements adéquat et des médicaments. Ce qui va encore alourdir le bilan. L’hôpital principal de Kinshasa n’avait que 60 lits et aucun équipement pour soigner les blessés. Beaucoup sont morts faute de soins à temps.
Il faut savoir après ce évènement effroyable, plusieurs victimes ont eu des traumatisme crânien, d’autres avec encore tête fracassée ou broyée, d’autres encore avec des ouvertures des os du crâne, des amputations parito-temporels et d’autres avec bras, nez, oreilles déchiquetés, cuisses et jarrets coupés.
Il y’a même des personnes dont leurs têtes étaient coupées mais qui parlaient encore selon l’histoire qui circule dans la ville. certaines personnes sans vie n’ont plus des tête ,les autres étaient coupé en 2 à cause de l’hélice d’avion. Les secours ramassaient même les bras sous leur table.
Tous le monde courre au lieu du drame pour vérifier si leur membre qui était au alentour est encore vivant ou pas… Les yeux ne peuvent pas voir ses horreurs à grande échelle.
4. La responsabilité
Comme on vous a dit dans le chapitre précédent, 4 membres sur 6 ont survécu dont deux russes, un ukrainien et un Zaïrois. Mais les premiers éléments sur ce crash qu’on a est la déclaration du ministre des transports de l’époque, Bernardin Munguldeaka, déclarant à la radio que l’appareil était en surcharge de 600 kilos.
L’Antonov 32 appartenait à la compagnie African Airways, elle-même opérant sous licence de Scribe-Zaire appartenant à Bemba Salona, le père de Jean Pierre Bemba.
C’est le seul moyen de transport capable de transporter de telles quantité de marchandises. Selon les indiscrétion, L’avion servait aussi de ravitaillement des provisions vers l’Angola à l’Unita, le groupe rebelle de Jonas Savimbi.
Une messe a été organisée en présence de plusieurs acteurs politiques pour rendre hommage aux victimes du catastrophe.
5. Le procès
En avril de l’année suivante, un procès est ouvert sur cette affaire. L’affaire oppose ministère public et les parties civiles, contre :
Je vais citer le nom que comprendre.
- Nicolaï KAZARINE VLADIMIRO et Andreï GOUSKOV VICTOR, les deux pilotes.
- MBOKOLO EPEPE et KISELA MWENE, les agents de RVA qui ont autorisé le décollage de l’avion.
- SCIBE AIR LIFT, SCIBE ZAIRE, AFRICAN AIR et afin RVA.
Je ne veux pas entrer au détail du comment s’est déroulé le procès. Mais je vais vous donner les grandes lignes. Ils sont poursuivis au premier degré pour pour les préventions d’homicide et des lésions corporelles involontaires.
Le procès a duré près d’un mois. C’est lors de ce procès que plusieurs éléments de l’incident ont été révélés. À la fin de ce procès, à la grande instance de Kinshasa-Gombe, les pilotes russe sont reconnus coupables et condamnés deux de prison le 8 mai 1997.
Les deux compagnies Africa Air et Scibe Airlines condamnés à payer une amende de 1,4 million de dollars et à une indemnisation. Et les deux agents de RVA, qui ont autorisé le vol sont acquitté.
Suite à ces événements, Africa Air a cessé ses activités. Les deux pilotes ont purgé leurs peines en Russie. Ce crash a ôter la vie à des centaines de personnes dont les père, les mère de famille, des enfants.
C’est un des drames au sol que l’Afrique que l’Afrique n’a jamais connu avec un triste record du plus grand nombre de victimes.
Après le procès, il a été révélés que la compagnie Africa Air ne disposant pas des autorisations nécessaires et ayant emprunté des documents à Scibe Air. Il a également été établi que les pilotes de l’appareil, n’étaient pas qualifiés et étaient peut-être ivres au décollage.
Il faut savoir que les victimes de ce drame n’ont pas été jusqu’au moment qu’on tourne cette vidéo indemnisé par les autorités malgré la condamnation il y a 27 ans.
