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La vraie histoire de Wembo kolosoy

maviemakiese2@gmail.comBy maviemakiese2@gmail.comjuillet 23, 2025Aucun commentaire7 Mins Read
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Il est l’un des pionniers de la musique congolaise. Il a tracé le chemin pour un plus grand nombre des musiciens. Son style est unique, sa musique

Voici en quelques minutes l’histoire sur le parcours de Wembo kolosoy.

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Nous sommes en 1925, loin de l’époque de l’idée de chercher l’indépendance que naît le 25 avril à Mushie à Mai ndombe Antoine kolosoyi Longongo. Il est devenu orphelin de père depuis son jeune âge.

Il gagnera des prix lors des concours dans la rue pour l’interprétation correcte des chansons populaires.

Dès sa jeunesse, il devient mécanicien de bateaux sur le fleuve Congo. À chaque escale, le garçon prenait sa guitare et faisait bénéficier les gens du coin de ses titres musicaux, empruntant à l’Afrique et aux Caraïbes. Dans cet époque le nom de la rumba congolaise n’avais pas vraiment d’ampleur.

 

Vers 1936 qu’il commence vraiment à s’intéresser à la musique. Les musiques qui proviennent de la rumba cubaine deviendra plus tard la rumba congolaise.

 

On lui attribue très vite le sobriquet de « Windsor » donné par maître taureau, référence au duc de Windsor – il créera l’orchestre Victoria Kin –, qui se transforme en « Wendo Sor » avant de devenir simplement « Wendo ».

 

En s’inspirant de son initiateur Paul Kamba (Fondateur de la rumba congolaise) chef de l’orchestre victoria Brazza, il fonde en 1948 le groupe Victoria Kin et enregistre dans la foulée son premier disque.

Bongeli, Bape et Tango et maître taureau bateko.

La même année que sort son premier succès Marie-Louise… Enregistrée au studio Ngoma, elle voit le jour en 1948 en format 78 tours, sous la référence Ngoma no 23.

Le disque 78 tours dispose de deux titres, « Marie Louise » sur la face A et « Botiaki tembe » sur la face B. C’est le premier qui dominera la fin de la décennie quarante et le début de la décennie cinquante.

Selon des sources proches de Wendo, « Marie Louise » fut sa dulcinée et la sœur du guitariste Henri Bowane, qui l’accompagne sa guitare.

Dans ce titre, l’auteur manifeste son ardent désir d’épouser sa bien aimée en dépit de l’opposition rencontrée de la part de son beau-père qui indirectement l’insulte et le calomnie.

Il transpose sur sa guitare les rythmes traditionnels de la tribu Mongo dont il est issu. Ici, le dialogue entre la guitare de Bowane et le chant de Wendo est un véritable régal auditif.

Cette composition est considéré à l’époque une chanson magique qui réveiller les morts, et qui par conséquent valu l’excommuniation de l église catholique.

Sa notoriété inquiéte les autorités coloniales, qui s’occupe déjà du mouvement créer par Simon kimbangu, qui parle très haut que Dieu est noir.

L’homme recherchée par les politiques et l’église, il quitte la capitale pour se réfugier à Kisangani.

Selon ses dires lors d’un interview « Les colonisateurs belges avaient peur de nous ».

 

En 1955, avec Léon Bukassa et Manuel d’Oliveira, il crée l’orchestre Trio Bow.

 

Leurs œuvres célèbres furent “Sango ya bana Ngoma”, “Victoria apiki dalapo”, “Bibi wangu Madeleine”, “Yoka biso ban’Angola”, “Landa bango”, leur talent contribua au développement et au prestige de la firme Ngoma.

 

Dans son œuvre, il chantait en langue kundo, sa langue maternelle, en lingala et en swahili.

 

Après une éclipse de près de 8 ans, il évolua avec l’African Fiesta de Tabu Ley entre 1968 et 1969.

 

En 1974, en vue de revaloriser la musique congolaise, le président Mobutu fit appel à lui et à d’autres artistes dont Feruzzi, D’Oliveira, Adou Elenga, Lucie Eyenga, Marthe Badibala, Marie Kitoto, Antoine Kasongo etc.

 

 

À partir de 1965, lors du coup d’État de Mobutu, il cesse vraiment de s’occuper de sa carrière, Wendo refuse de chanter les louanges du régime et rentre à son ancien travail sur un bateau comme mécanicien.

 

 

Après une longue éclipse, il enregistre en 1993 un album Nani akolela Wendo ? (qui passera quasiment inaperçu) pour un éditeur belge (Sovarex).

 

 

Après la chute de Mobutu, Laurent-Désiré Kabila, qui se voulait l’artisan d’une renaissance congolaise, qui rend au Zaïre son ancien nom, le Congo, et demande personnellement à Wendo Kolosoy, l’oublié, le pur, de remettre la vieille rumba à la mode.

 

Il participe notamment dans les chansons patriotiques en s’illustrant dans les chansons ‘’« Tokowa po na Congo » et « Franc Congolais » dirigé par souzy kaseya.

 

En 1997, Wendo Kolosoy a repris ses répétitions dans la cour de la maison familiale, avec quelques complices de son âge.

 

il retourne en studio en 1997, à Abidjan, lors du quatrième Marché des arts et du spectacle africain (MASA), pour mettre en boîte un nouvel album.

 

 

On y trouve quelques-uns de ses anciens succès dont un hommage au maître « ambianceur » kinois Pépé Kallé, qui venait de disparaître, et il re-enregistre en studio la chanson Marie Louise en 1999.

 

Depuis trois ans, son groupe de vétérans enflamme les salles d’Europe et des Etats-Unis avec une rumba aux accents cubains qui n’est pas sans rappeler l’aventure de Compay Segundo et de son Buena Vista Social Club de La Havane.

 

Grâce au Masa et au producteur Christian Mousset, Wendo a encore enregistré, d’abord la chanson “ Tokutani ”, avec la doyenne de la chanson camerounaise Madame Anne-Marie Nzié, la voix d’or de Yaoundé que récrée son magnifique Cd, qui célèbre le “ Jubilé d’Or ” de Wendo. La thématique de cet album brasse toutes les alluvions de la mémoire.

 

 

En 2002, le chanteur enregistre à Kinshasa l’album Amba, inaugurant Marabi, le nouveau label discographique lancé par Christian Mousset, directeur du festival Musiques métisses d’Angoulême.

 

 

Le 28 juillet 2008, Wendo meurt à la clinique Ngaliema où il était hospitalisé après une crise vers 17h40, liée à un « dysfonctionnement organique », à l’âge de 83 ans.

 

 

Des milliers de Kinois ont rendu un dernier hommage dimanche à l’artiste musicien congolais Antoine Wendo Kalosoy, considéré comme le père de la rumba congolaise, au cours de funérailles dans un stade de Kinshasa.

 

Après la levée du corps de la Clinique Ngaliema, le 2 août 2008, le cortège mortuaire avait fait une escale à la Place des Artistes, sur la place Victoire, où certains mélomanes ont rendu un dernier hommage au défunt.

 

Direction ensuite stade des Martyrs où les funérailles ont été organisées.

Wendo a été inhumé le dimanche 3 août 2008 au cimetière de la Gombe en présence d’une foule nombreuse ainsi que du ministre de la culture Esdras Kambale et notamment du gouverneur de la ville de Kinshasa, André Kimbuta et des représentants de musiciens.

 

de musiciens et de mélomanes ont pris part samedi et dimanche.

 

après 63 ans de carrière, ont annoncé plusieurs journaux parus lundi à Kinshasa.

 

Il laisse derrière lui 60 enfant et Crooner incontournable des scènes africaines, auteur compositeur des « tubes » qui ont marqué l’histoire de la musique africaine, précurseur ou inventeur de la rumba congolaise,

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maviemakiese2@gmail.com
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